Jeudi 16 : Opération Appartement suite et pas fin
C’était non sans un certain plaisir que je m’voyais déjà en haut de l’affiche payer l’italien, récupérer ces foutues clés (parce que quand même j’ai filé l’acompte comme ça sans rien et c’est à la limite du relou) et m’installer. Quoi que déplacer les instrus à pied… enfin bref si déjà j’ai mon chez moi, ce serait pas mal.
Et bien non raté.
Diantre le sort s’acharne le vilain.
J’ai vérifié sur mon compte avec la connexion magique piratée (enfin piratée, c’est juste que y a un gus qui laisse sa connexion wi-fi en libre accès) d’Olivier que j’avais bien les sous sous sur mon compte. Avec cette connexion pire que le modem en Charente, il me faut souvent 3 ou 4 tentatives pour envoyer un simple mail, surfer sur un site demande donc tout un travail sur soi. Finalement après quelques contorsions (il me faut me mettre à en endroit très précis de la pièce collé à la fenêtre avec une inclinaison précise de l’écran) la vérification est faite. Youpi youpi. J’appelle le proprio, c’est un peu compliqué parce qu’il est loin et que je dois être absolument à 17h à Corvinus pour l’explication du Business Project mais c’est bon, on a rencart.
Donc je fonce au distributeur le plus proche prêt à faire péter le compteur, et là rien. « You don’t have the funds gna gna gna ». J’t’en foutrais des j’ai pas les fonds crétin. Bien sûr que si je les ai, je viens de le vérifier. Bon appel au paternel qui appelle le directeur du Crédit Agricole à Ruffec qui est pas là, vérification des comptes, il paraît que j’ai dépassé le plafond sauf que c’est 300€ et que j’aurai retiré 145€. Bref c’est le merdier et je peux pas payer mon sgars qui était bien vénère vu qu’il était venu pour rien. Pourvu que ça s’arrange demain vu que je peux pas squatter chez Olivier qui doit déjà héberger du monde. Ca commence à être pénible là.
En photo la vue depuis la chambre d'olivier